Montpellier (34)
Etude en cours
Centre de soins de la faune sauvage

Face à une demande croissante, la ville de Montpellier souhaite implanter un Centre de soins pour animaux sauvages à proximité du parc zoologique de
Lunaret. Le projet proposé ici s’inscrit dans une démarche à la fois fonctionnelle, écologique et patrimoniale, au coeur du Bois de Montmaur. Nos choix architecturaux, paysager et technique reflètent la volonté de créer un espace en symbiose avec son environnement naturel, tout en répondant aux exigences spécifiques des soins aux animaux. Ils ont été pensés pour minimiser l’impact sur cet environnement, tout en s’appuyant sur les atouts du site pour offrir des conditions optimales d’ensoleillement, d’ombrage et de cadrage paysager.

L’implantation du bâtiment dans la pente naturelle du terrain représente un parti-pris audacieux et pertinent. La volumétrie compact et l’insertion dans la pente permet non seulement de réduire l’impact visuel sur le site, mais aussi de minimiser l’emprise au sol et l’imperméabilisation, préservant ainsi un maximum d’espaces naturels tout en assurant une modularité future pour le projet.

L’organisation spatiale assure un contrôle strict des risques pathogènes et une séparation claire entre les zones accessibles au public et celles réservées aux soins. Dans une démarche de valorisation et de protection de la biodiversité, le projet vise à réutiliser au maximum les ressources issues du site. Les matériaux naturels extraits, tels que la pierre et le bois, seront réintégrés pour constituer des aménagements extérieurs (enclos, volières) et des éléments architecturaux (toiture végétalisée). Les murs de gabions, remplis de pierre récupérée, témoignent de cette approche circulaire et ajoutent à cette cohérence écologique du projet, tout en optimisant la performance énergétique et l’insertion paysagère du bâtiment.

L’organisation spatiale assure un contrôle strict des risques pathogènes et une séparation claire entre les zones accessibles au public et celles réservées aux soins. Dans une démarche de valorisation et de protection de la biodiversité, le projet vise à réutiliser au maximum les ressources issues du site. Les matériaux naturels extraits, tels que la pierre et le bois, seront réintégrés pour constituer des aménagements extérieurs (enclos, volières) et des éléments architecturaux (toiture végétalisée). Les murs de gabions, remplis de pierre récupérée, témoignent de cette approche circulaire et ajoutent à cette cohérence écologique du projet, tout en optimisant la performance énergétique et l’insertion paysagère du bâtiment.

L’organisation spatiale assure un contrôle strict des risques pathogènes et une séparation claire entre les zones accessibles au public et celles réservées aux soins. Dans une démarche de valorisation et de protection de la biodiversité, le projet vise à réutiliser au maximum les ressources issues du site. Les matériaux naturels extraits, tels que la pierre et le bois, seront réintégrés pour constituer des aménagements extérieurs (enclos, volières) et des éléments architecturaux (toiture végétalisée). Les murs de gabions, remplis de pierre récupérée, témoignent de cette approche circulaire et ajoutent à cette cohérence écologique du projet, tout en optimisant la performance énergétique et l’insertion paysagère du bâtiment.

L’organisation spatiale assure un contrôle strict des risques pathogènes et une séparation claire entre les zones accessibles au public et celles réservées aux soins. Dans une démarche de valorisation et de protection de la biodiversité, le projet vise à réutiliser au maximum les ressources issues du site. Les matériaux naturels extraits, tels que la pierre et le bois, seront réintégrés pour constituer des aménagements extérieurs (enclos, volières) et des éléments architecturaux (toiture végétalisée). Les murs de gabions, remplis de pierre récupérée, témoignent de cette approche circulaire et ajoutent à cette cohérence écologique du projet, tout en optimisant la performance énergétique et l’insertion paysagère du bâtiment.